Arthur resta figé sur la scène, le regard net sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, zéro brise assez majeure pour se dessiner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer isolé, comme s’il répondait à une popularité indécelable. https://lestera233zro7.blogrenanda.com/profile