Arthur resta figé sur la scène, le regard déterminé sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, pas de mouvement, aucune brise assez majeure pour accoucher un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, comme s’il répondait à une présence indiscernable. https://edwinvoesf.blogsuperapp.com/34333716/la-romance-des-absents