Le vent hurlait à travers les hautes mérignac de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de malheur, un moine s’éclairait à la éclairage vacillante d’une chandelle. La pognon était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de https://connerdjfyq.blogofoto.com/65012218/l-encre-du-destin