L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant comme un océan figé sous la lumière du soleil déclinant. Le vent continuait de aiguillonner des volutes de poussière, mais son être était ailleurs. Les ombrages qu’il avait vues une période plus tôt n’avaient laissé zéro trace, zéro timbre dans le sable. Pourtant, https://voyant-mail22086.blogstival.com/55684258/le-sable-et-les-comètes