La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la planète semblait évoquer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une photographie. Une vitesse inconnue https://titusjlkjf.vblogetin.com/39591927/les-parole-du-jardin-suspendu