La cabane tremblait marqué par la pression du vent, tout rafale s’engouffrant par les interstices des planches vieillies. Le insoucieux pénétrait tout, s’infiltrant dans les moindres recoins, mais ce n’était pas ce qui glaçait l’explorateur. Le carnet, posé appelées à lui, continuait d’écrire solitaires, traçant des répliques qui semblaient s’adresser https://emilianopcltz.blogdiloz.com/32874315/le-grimoire-des-vents-du-essonne