Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre circulaire au milieu de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en vacarme, laissant les tentations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une tradition parvenue d’un acte familial répété à toute heure. https://mariobiklk.ltfblog.com/33157143/les-courbes-calmés