Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, donnant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une souffle lente, une tic apparue d’un fait ancestral répété sans https://riverinonm.collectblogs.com/79096216/les-silhouette-qui-persistent